Jeudi 6 janvier. A la faveur d'un débat posé par le groupe CRCE au Sénat, j'ai rappelé l'importance de la réduction du temps de travail comme outil dans la transition écologique dans la justice sociale : pour redonner du sens au travail, pour la santé des travailleurs et des travailleuses, pour le partage des richesses...
Ce mouvement de réduction du temps de travail doit se faire au profit des salarié·es, suivant différentes modalités : à l'échelle de la semaine, de l'année (congés payés), de la vie (abaissement de l'âge de départ à la retraite, années sabbatiques pour mener des projets personnels ou de formation).
La réduction du temps de travail permettra ainsi de faire bénéficier les travailleurs et les travailleuses de l'augmentation des gains de productivité.
Fini le "Travailler plus pour gagner plus", les écologistes, dans le sillage des grandes conquêtes sociales de la gauche, portent le "Travailler mieux pour gagner mieux" !